Par Laura Garcia Vitoria - 12/08/08
Un nouveau débat s’esquisse sur l’utilisation de Twitter (l’équivalent
de «gazouillis» en français) dans la communication politique. Il
n’aurait pas là de quoi poster un nouveau billet si ce n’étaient pas
toujours les mêmes qui disaient les mêmes choses et avec les mêmes
obsessions. Nous assistons en matière de communication politique à la
démultiplication des outils, des technologies et des interfaces, mais
si nous n’avons rien de plus à dire ? D’ici à évoquer, à la suite de
Dominique Wolton, une « saturation du message politique … Le direct ne
vaut pas grand-chose sans son contexte, sans mise en perspective, sans
connaissances ». Et si c’était surtout ce dernier mot qui faisait toute
la différence ? LIRE LA SUITE