Les cinq principaux partis politiques exploitent des présences et des outils sociaux sur Internet, mais l'interaction, qui est le fondement du Web 2.0, fait défaut dans la plupart des cas.
La campagne électorale québécoise tire à sa fin. Dans une semaine, les Québécois iront aux urnes. Tout comme les partis politiques fédéraux lors de la récente campagne électorale, les formations provinciales ont eu recours à l'Internet comme canal de communication, en exploitant des outils et des espaces sociaux.
Or, un tour d'horizon des initiatives des cinq principaux partis politiques permet de constater que l'esprit du Web 2.0 n'a pas été respecté dans la plupart des cas. Du même souffle, à en croire l'évaluation d'un groupe d'intérêt, la facilité d'accès des sites Web de l'ère 1.0 des partis politiques aurait grandement besoin d'amélioration...LIRE LA SUITE